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La faune pyrénéenne
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MERE APALOUSA AVEC SA PROGENITURE |
LEZARD DES MURAILLES : (Lacerta muralis)
Habitat : Europe occidentale, centrale, et du sud jusqu’en Asie Mineure. C’est la sous-espèce nominale qui habite l’Europe occidentale et les pays alpins où elle est la forme de lézard la plus commune.
Le mâle atteint exceptionnellement 20cm, la femelle 18cm, dont deux tiers pour la queue. De forme élancée, la tête et le corps aplatis, sa coloration est très variable ; le dos est brun ou gris, tacheté ou réticulé de noir surtout chez le mâle. La face ventrale est claire, blanche, jaune ou rougeâtre.
Il vit dans des biotopes pierreux les plus ensoleillés : vieux murs, tas de pierres, rochers, carrières, talus des chemins et des voies ferrées, vignobles. Il est très fragile se retire dans son abri, qu’il creuse lui-même, lorsqu’on le dérange ou aux heures les plus chaudes de la journée. L’hibernation est de courte durée: pratiquement inexistante dans le Midi où on peut le voir réapparaître en hiver lors des journées ensoleillées.
L ‘accouplement a lieu au printemps, suivi de la ponte qui selon les régions se fait entre avril et juin. La femelle creuse un trou dans un talus pour y déposer 2 à 9 œufs en une ou plusieurs fois. La durée de l’incubation est de 4 à 11 semaines. |
GRANDE LIMACE : ( Arion ater)
Tous ceux qui possèdent un jardin et tous les promeneurs connaissent sûrement nos deux espèces indigènes d’Arionidés : la Limace rouge (arion rufus) qui peut être marron ou gris sombre, et la Grande limace (Arion ater) dont les jeunes peuvent également présenter des colorations jaunâtres, grisâtre ou verdâtres. On trouve partout fréquemment ces animaux, qui peuvent mesurer jusqu’à quinze centimètres, dans les endroits humides. Ils sortent par temps de pluie, et plus encore lors des orages. L’Arion brunâtre (Arion subfuscus),lui aussi très grand (5-7cm), est un consommateur déclaré de champignons. C’est pourquoi on le trouve dans les forêts de conifères, dans les forêts sèches de feuillus, mais aussi dans les régions de landes. La limace des jardins (Arion hortensis), « animal domestique » pour ainsi dire, ne se rencontre qu’occasionnellement hors des jardins et des parcs. De même que les autres espèces d’arionidés indigènes, ces animaux vivent plus ou moins d’une nourriture végétale. Seules quelques-unes d’entre elles, comme par exemple la limace des jardins, peuvent être le cas échéant nuisibles à l’homme. Elles répandent en effet divers agents de maladie des plantes, faisant ainsi du tort aux cultures. |
VALERIANE : (Valeriana pyrenaica) jusqu’à 2400m. Juin/Août |
HYDROTHERAPIE BOVINE A L’ESTAGNOLE DU COMTE. |
CALOSOME SYCOPHANTE : ( Calosoma sycophanta) Appartient a la famille des Carabidés, récemment répartis par certains auteurs en plusieurs familles ; le nombre des espèces approche 24 500 ; répandus surtout en Asie, en Europe et en Afrique du Nord, mais également représentés dans les autres parties du monde ; longueur du corps de 1mm à 10cm. D’aspect très varié, généralement noirs, coureurs agiles et rapides ; presque tous chasseurs, beaucoup sont cavernicoles, d’autres myrmécophiles et termitophiles ; quelques-uns sont phytophages ; on en connaît plus de 300 espèces fossiles. |
CHEVAUX DE MERENS EN ESTIVE |
GUPPY CHASSANT LES TAUPES. |
LORIE SA PREMIERE VISITE AU LAC DU COMTE. |
PRENDRE DE LA HAUTEUR POUR VOIR PLUS LOIN. |
BATRACIEN A PEINE SORTI DE SA LETHARGIE HIVERNALE |
PONTE DE BATRACIEN SUR UN NEVE GARANTISSANT L’EAU NECESSAIRE A UNE EVOLUTION FAVORABLE. |
Les salmonidés sont fréquents dans les lacs et les ruisseaux de montagne. |
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